LA TURQUIE A L'ÉPREUVE D'UN HOMME QUI A PEUR. 

1200 associations fermées, des journalistes arrêtés, des médias fermés, des cinéastes et des recteurs d'universités interdits de sortir du territoire, 13000 gardes à vues, 21740 limogeages dans le ministère de l'éducation, 9000 limogeages dans le ministère de l'intérieur, 21000 limogeages dans l'éducation privée, 2942 limogeages dans d'autre ministères, 5800 détentions, 45 % des généraux limogés, 27 % des magistrats suspendus, il parait que cette  purge touche aussi des sportifs. 

Je m'interroge, comment l'Europe peut-elle continuer à avoir des discussions avec ce pouvoir qui les a roulé dans la farine en ce qui concerne le problème des "MIGRANTS", bien vu Mme. MerKel.

On pourra analyser plus tard comment des pays comme les nôtres ne peuvent plus accueillir  
de réfugiés.

Si il s'agissait d'un président "AFRICAIN" pour la folie des grandeurs et la répression, la communauté internationale le condamnerai immédiatement, mais il s'agit de la Turquie, alors on marche sur des oeufs. 
Et dans son immense palais d'AKSARAY de 200000 mètres carrés et de 1000 pièces, je me demande si Mr. Erdogan qui est à mon sens un dictateur, ne va-t-il pas faire interner son hombre ?

Seul l'avenir nous le dira, il y a des coup d'états qui tombent bien.