LES VIERGES EFFAROUCHEES DE LA POLITIQUE
Le premier Ministre qui parle de "VOYOUS", Mr. Nicolas Sarkosy qui nous balance "LA CHIENLIT", tous les politiques qui nous parle de brutalités pour une "CHEMISE ET UNE VESTE ARRACHE ET QUELQUES FRAYEURS", les médias qui y vont de leur musique d'encensoir "AMEN", on interroge les citoyens qui comprenne mais trouvent ces méthodes trop dures.Quand on regarde cette vidéo qui montre une hôtesse de l'air qui interpelle des membres de la direction pour un dialogue, et pour toute réponse "ON N'EST PAS HABILITES A VOUS PARLER", ces personnes qui boivent leur "café tranquillement, on ne sait pas".
On parle de dialogue, mais les bras nous en tombes.
On demande aux pilotes d'Air France de faire 100 heures de vols supplémentaires non payées, s'ils n'acceptent pas on ferme des lignes et on licencie.
Dans quel monde vit-on ?
Depuis quand et par quel enchantement ce qui est devenu une grande mode dans le modèle managérial économique actuel, on demande aux salariés de travailler des heures en plus tout en conservant le même salaire.
En prétextant le maintien de l'emploi sur des périodes de trois ou quatre ans.
Quand un salarié effectue des heures non payées cela représente un gain pour l'entreprise, mais aussi une perte pour "LES COTISATIONS SOCIALES, SECU, RETRAITES", on appelle cela du "TRAVAIL AU NOIR NON PAYE".
Est-ce légal ?.
Les FILLON , SARKOSY quand il va faire une conférence au Quatar, et consort, j'en oublie assurément, quand ils font leur conférences les font-ils à titre gracieux ? Ou acceptent-ils des baissent de leurs "TARIFS" de star de la politique. J'en doute.
Alors, qu'ils ne fassent pas les vierges effarouchées par la réaction de ces salariés à qui l'on demande en permanence des efforts, et qui ne supportent plus la morgue et l'incompétence d'un certains nombre de leur dirigeants et que l'on cesse de les prendre pour des imbéciles car ils pourraient avoir des réactions de plus en plus violentes.
La violence sociale est la pire de toutes, et, c'est elle qui amène le plus de désespoir.
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