samedi 19 décembre 2015

ROBERT MENARD LE CHARLES MARTEL DE BEZIERS

Qui veut-il bouter hors de France? 

Une question se pose, qu'est-il allé faire à Doha au Qatar? 
Pays musulman s'il en est.

Mais c'est bien sur, diriger le "CENTRE FOR MEDIA FREEDOM" pour la liberté de la presse. Je pense qu'il aurait du employer l'expression "LE QATAR LIBERE LA PAROLE" comme à Béziers.
Il faut le dire, Robert Ménard est un sacré enfumeur quand il prétend libérer la parole en invitant, Patrick ZEMMOUR, Denis TILLINAC ou bien Phillippe DE VILLIERS, ces trois personnes qui ont publié des dizaines de livres et qui ont toujours eu accès à presque tous les média, et je pense au sieur DE VILLIERS avec ses presque 30 ans de vie politique, n'ont pas attendu le Ménard pour pouvoir libérer leur parole. Ils ont du sourire "une occasion média gratuite en plus".
Quand il a péroré "la police municipale a un ami de plus avec un calibre", vaste plaisanterie, des tas de communes avaient déjà armé leur police municipale, exemple Bédarieux ville de "gauche" ou les policier municipaux sont déjà armé depuis un moment sans en faire tout un "BARRATIN".
Ce personnage qui n'a dans son fond de culotte politique "qu'une ambition démesuré pour arriver quelque part, mais ou, peut-être à des fonctions dont il rêve, je ne suis pas certain que ce soit l'intérêt général qui le motive". Je pense que l'entretien qu'il a donné lors de la venue de Nadine Morano est révélateur à ce sujet quand il déclare " ce ne sont pas les régionales qui l'intéresse, mais l'avant et l'après 2017 ou il pense avoir un rôle à jouer.
Je vous laisse réfléchir.

Pour les finances des ses futures campagnes il pourra compter sur "L'IRI" un des 4 satellites de la NED/CIA qui a fait des prêts à Reporters sans frontières du temps de sa présidence pendant 3 ans (2002, 2003,2004), période ou RSF s'occupait de "complimenter" CUBA, AHITI ou le VENEZUELA.
Ce sont peut-être des journalistes mal intentionnées qui disent cela.

Je vous laisse et je retourne dans mon atelier pour peindre et écouter Vincent Peirani et Emile Parisien.



    



  

  

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