mercredi 29 avril 2020



ART CONTEMPORAIN ET "PERFORMANCES"

Partie 1


J'ai découvert dans la revue "Connaissance des Arts" plusieurs pages consacré à une artiste que je ne connaissais pas Renée Levi.
On pourrait dire que ce papier est une accumulation de poncifs signés par Elisabeth Vedrenne.
Les photos nous montrent d'immenses "COLORIAGES DECORATIFS".
Quand je lis que "Elle emploie le jet puissant de la peinture à la bombe. La projection, rapide et irréversible, procure une intensité et un rythme nouveaux. Les couleurs industrielles des sprays, criardes, électriques, acides et sans nuances, l'aident à éviter le "SPECTACULAIRE ET SURTOUT LA NARRATION" il est vrai qu'en regardant les photos de ce travail on constate que des toiles qui mesurent (5,25 m x 10 m) ne sont pas "SPECTACULAIRES".
Colorier les murs d'une salle à la Biennale de Lyon en 2019 avec un balais serpillière, et nous parler de "GESTUELLE DECORATIVE" là nous sommes d'accord, en ce qui concerne la performance, artifice inutile quand on rien d'autre à dire.

Les outils et les gestes on s'en moque, la cuisine n'a aucun intérêt "A PART CELLE QUI SE MANGE", seul compte "L'OEUVRE".
Quand les spectateurs entreront, ils seront soit disant enveloppé par l'oeuvre car nous sommes là dans l'art spectacle, il faut surtout occuper tout l'espace. La dimension peut servir à atténuer un peu la qualité intrinsèque des oeuvres présentés.

Le commissaire Hugo Vitrani pour la Biennale de Lyon qui lui "recommande de nouveaux aérosols beaucoup plus puissants, ce qui lui permettra d'investir les murs d'une longue bleue et beige".
Il est fort ce commissaire, il conseille l'artiste sur les outils à utiliser pour réaliser son oeuvre, comme si celle-ci ne savait pas quels "OUTILS" utiliser pour la réalisation de son travail.

Petite parenthèse,
A l'époque du communisme, il y avait des commissaires politiques qui définissaient la bonne lecture et attitude par rapport à la doctrine, que l'on retrouve actuellement dans certaines applications du religieux, même si les noms ont changés.
Dans le monde de l'art, ceux qui choisissent et organisent des expositions se font appeler "COMMISSAIRE", si je ne m'abuse, en dehors d'organiser des expos ils ont la même fonction que les commissaires politiques de l'époque car ils déterminent ce qu'est "L'ART CONTEMPORAIN", et en même temps ils rendent de grands services aux marchands et galeristes en donnant "L'ONCTION MUSEALE AUX OEUVRES".

Allé, bon vent au cire pompes de l'art contemporain.

P.S. en parlant de performance j'ai découvert le travail de GINA PANE à la galerie STADLER à l'époque à Paris, dont personne ne parle, il serait bien venu que lorsque l'on parle d'art dans des revues, en connaitre son histoire serait la bien venue. 



























   












Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire